[Topic long] C/R complet de la virée auvergnate

Vu que j’ai pas la moindre photo à soumettre, en attendant les photos et la vidéo de Romain, je vais essayer de vous fournir un petit C/R de cette semaine courte, mais intense...

Lundi

Rencard à 8h05 tapantes avec Bernard, Michel et Yann à l’échangeur de Bain de Bretagne. J’habite à trois minutes de là, mais je trouve le moyen d’arriver avec 5 minutes de retard et la tronche en vrac. Les prévisions météo sont pessimistes, mais le moral est bon et on enfourche gaillardement nos montures pour tracer jusqu’au point de rdv à Nantes. Quelques misérables gouttelettes viennent ponctuer le trajet. Si c’est ça, la pluie qu’ils ont annoncé... je ricane d’avance sous mon casque (grossière erreur ).

On arrive sans incident à Nantes où Romain, Fab, Thierry et Cyril nous rejoignent. Le ciel se couvre mais ranafoute, on est des warriors et tout et après s’être serré la louche, on se met en route, direction l’Auvergne... et là, ça commence à chier un peu. 10 bornes après Nantes, il commence à pleuvoir. Un peu, puis pas mal, puis vachement beaucoup et surtout, tout le temps. Et c'est comme ça qu'on va se retrouver à patauger sous une drache de plus en plus intense entre les poids lourds, les opérations escargot et cie... pendant 400 bornes.

Arrivés à 150 bornes de Chambon, on roule carrément dans des nuages de flotte surréalistes, à tel point que le TLS commence à brouter parce que l’eau rentre dans le puits de bougie avant... Le Fazer de Fab commencera bientôt à faire des siennes, lui aussi ; sur le Hayabusa de Thierry, le refroidissement trop rapide des disques de frein après des freinages répétés entraînera le voilage d’un disque, à 50 bornes de la ligne d’arrivée... À ce point, malgré les tenues de pluie, on est tous qu’on est tous trempés jusqu’au slip/caleçon/shorty (rayer la mention inutile) et bons pour essorer nos gants, blousons et pantalons.

Descente du col de la Croix Robert en mode über-lopette, et on arrive au camping. Douche chaude pour les uns, excursions aux séchoirs à linge pour bibi (toutes mes affaires étaient trempées, malgré les protections supposément étanches des sacoches... ), puis virée au resto pour déguster une énorme plâtrée d’une excellente truffade ! Le temps est pourri, mais tout le monde est en vie et le moral tient le coup... malgré l’annonce d’une météo maussade mardi.

Mardi à suivre...

vivement la suite

cool la jolie histoire

Petit feuilleton sympa qui s'annonce !

Yesssss

you are the warriors

Mardi

Bon là, j’avoue, le temps fait un peu beaucoup chier. Les mobile homes sont jonchés de gants, casques, blousons, frocs, sacoches etc. en train de sécher leeentement au-dessus des convecteurs... et en fin de matinée, il recommencer à vaser hargneusement, ce qui porte un sérieux coup au moral des troupes. Thierry doit aller à chez Suz' à Clermont-Ferrand dans l’après-midi, et la perspective de se taper 50 bornes de petites routes sinueuses sous la pluie battante enchante moyennement certains d’entre nous (dont les deux grosses taffioles en bicylindre ).

Bah, après une bonne collation mitonnée par notre Jedi des fourneaux (notre sauveur à tous, celui-là même qui est descendu avec un top case blindé de succulentes victuailles... ), tout le monde (même les lopettoïdes vétouineux susnommés ) enfile les cuirs encore humides de la veille - sensation absolument jouissive, pour ceux qui connaissent - et hop, direction Clermont.

Arrivés chez Suzuki World, l’accueil est sympathique, on se pâme sur les nouveaux GSXR 750 et le nouveau Hayabusa (rhâââ lovely) pendant que le mécano se penche sur la bécane de Thierry : le diagnostic est posé, et les disques de la Buse seront changés jeudi après-midi.

Petite séance de courses (un conseil : n’envoyez JAMAIS Fab acheter de la charcuterie et des fromages locaux, à moins d’avoir envie de vous retrouver avec du Babybel et du jambon italien... ), blindage des top cases et retour à la conc’... et miracle, il ne pleut plus ! Au retour au camping, on aura même quelques tronçons de route sèche qui nous donneront envie de visser bien comme il faut. Et, cerise sur le gâteau... même si la météo annonce d'ores et déjà de la flotte pour le retour vendredi, il fera beau mercredi et jeudi ! Autant dire que le soir, le moral est en nette amélioration et on commence tous à souffrir de sérieuses démangeaisons dans le poignet droit...

Mercredi à suivre...

Terrible Dav'

Haaaaaaa, merci David

Les photos, c'est bien! Mais rien ne remplace le verbe! Et quand c'est bien dit en plus......


Vivement la suite du feuilleton

Nell a écrit:

Haaaaaaa, merci David

Les photos, c'est bien! Mais rien ne remplace le verbe! Et quand c'est bien dit en plus......


Vivement la suite du feuilleton

Toute comme Nell joliment racontée j'adoooooooooooooooooooore

On s'y croirait !!!

Je sens la flotte tellement ça fait réaliste

Mercredi

Levés de bonne heure, et premier constat... il n'a pas plu dans la nuit, woohooooo ! Le petit déj’ est vite expédié, le casse-croûte chargé dans les top cases des familiales () et on attaque le premier roadbook du séjour.

Non seulement il ne pleut pas, mais la route est quasiment sèche, le pied total ! Les virages s’enchaînent à bon rythme parmi des paysages grandioses, le bitume est généralement bon, voire très bon... Et là, l’extase : on attaque un col qui sert de piste de course de côte de bàr, avec une visibilité parfaite et un revêtement façon tapis de billard. Romain se poste dans un virage pour filmer nos passages en courbe lopettoïdes, on se fait le col à deux ou trois reprises, juste histoire de s'assurer qu'on ne rêve pas...

Ensuite, on enchaîne avant de s’affaler dans l’herbe et casser une graine... Je n’ai plus le roadbook exact en tête, mais on termine la journée en filant de Vic-le-Comte à Ambert, sur une superbe route qui enchaîne une partie technique façon Corlay-Guingamp (en vachte plus compliqué) et une partie beaucoup plus roulante, un superbe mix de Corlay-Guingamp et de Huelgoat-Morlaix avec un relief génial et un bitume absolument parfait ! Les bandes de trouille sont éradiquées avec minutie, c’est l’éclate totale et absolue !

Un godet à Ambert (aaah, ces tablées de motards bestiaux et menaçants, tout de cuir vêtus, en train de siroter un diabolo banane... ), et on se replie direction Chambon, moral au beau fixe. De retour au camping, les plus virils d’entre nous réquisitionnent la piscine et son toboggan (un ÉNORME merci au personnel du camping de nous avoir laissés aller faire un plongeon en-dehors des heures d’ouverture), avant de retourner au mobile home et de s’attabler pour une dégustation de spécialités locales : Fourme d’Ambert, Salers, Babybel, Cantal vieux, jambon italien bas de gamme, chiffonnade de jambon d’Auvergne et Saint Nectaire.*

Excellente bouffe, excellente compagnie, excellent roadbook et météo au top. Que demande le peuple (à part le sans plomb à 1 €) ?

*Deux intrus se sont glissés dans cette liste, sauras-tu les retrouver ?

Jeudi à suivre...

Excellent les autres les photos c' est bien mais le recit avec une bonne pointe d' humour c' est génial

Excellent récit,avec les photos on a une sensation d'y etre au conteur et reporter

C'est ce qui fait le charme de ce groupe de warriors : chacun sachant mettre ses qualités au service du groupe et de ce périple

David


La suite... la suite...

Excellent david, c'est tout à fait ça
On ne se lasse pas de te lire

Jeudi

On sélectionne la matinée du mercredi, un ptit copier-coller et hop, voilà la teneur du jeudi matin ! Temps superbe, petit roadbook peinard à louvoyer parmi les cols, les panoramas sublimes et les éperviers avant un pique-nique au sommet du magnifique (et vachement venteux) col du Guéry.

L’après-midi, on dépose Thierry chez Suz’, puis on taille la route. Malheureusement, suite à une erreur de programmation, le GPS de Bernard va chier dans la colle et nous guider à travers une looongue et fastidieuse traversée de Clermont-Ferrand. L’heure tourne... adieu roadbook des 110 virages, et après s’être fait longuement cuire le cul par leurs moteurs respectifs (FJR à 120 degrés, VFR à 110 et TLS à 107...), les sept preux chevaliers s’affalent sur une terrasse de Volvic en sirotant des diabolos violette, banane et citron (encore et toujours l’icône même de la virilité motarde, on est bien d’accord). Cafouillage de compét’, quoi...

On rentre à Clermont pour récupérer Thierry et ses freins tous neufs... qu’on s’empresse d’aller étrenner en allant faire un tour du côté du Mont-Dore et de La Bourboule. J’aurais bien proposé un challenge style "Tout vite, tout furieux" au naze total qui est arrivé à la conc’ en se pavanant sur un magnifique Hayabusa 2008 bleu/or tout neuf avec deux superbes sorties carbone Yosh... et des bandes de trouille de 4 cm de chaque centimètre du gommard arrière. "Alleeeez quoi, on se fait la Croix Robert en montée et le gagnant garde la machine de l’autre... J’ai aucune chance de pourrir ton missile de 200 chouals avec mon vieux twin tout poussif et ma partie cycle archaïque. Au pire, tu risques de gagner un TLS... gnéééhéhéhé !".

À l’issue d’une montée de col sur un bitume particulièrement pas top du tout, le groupe se trouve scindé en deux : d’un côté, les familiales et autres motos avec des amortos et des freins dignes de ce nom... de l’autre, la Voxan, le TLS, la Buse et le FJR de Gendarmerie (qui est vraisemblablement resté par pure commisération ). Le premier groupe poursuit imperturbablement sa route jusqu’à La Bourboule, tandis que le deuxième groupe - dont 50% du staff (les taffioles en vétouine pseudo-sportif, pour ceusses qui n’auraient pas suivi ) souffre d’un tassement lombaire, d’un mal de cul apocalyptique et a perdu les trois quarts de ses plombages dans la montée du col susnommé - se déballonne au Mont-Dore avant de se replier au camping... et investir une fois de plus la piscine, qui sera pour la circonstance le théâtre d’une épique joute de descente de toboggan entre Yann, Fab, Romain et moi-même.

Moult tsunamis plus tard, Fab et Yann sont déclarés grands messies cosmotelluriques du toboggan, avec des glissades d’une longueur absolument mystique, totalement inatteignable par le commun des mortels...

Le soir, à l’issue d’un long apéro, on dévore un cassoulet magistral cuisiné par notre vénéré maître-ès-fourneaux-et-autres-trucs-vachement-bons (alors, note pour les plus pragmatiques d’entre vous : manger un cassoulet, même succulent, quelques heures seulement avant de passer une looongue et chaude journée dans un froc en cuir, c’est pas l’idée du siècle) en préparant les plans du retour. Bordel, on est déjà jeudi soir... Faiche, c’est passé à une vitesse...

Et vendredi à suivre...

du talent jeune homme oui moi j'dis t'as du talent

Je te hais David...

La suite, la suite, la suiiiteeeee ...

C'est terrible : je connais la suite et j'ai quand même hâte à ton prochain post

LeBreton a écrit:

C'est terrible : je connais la suite et j'ai quand même hâte à ton prochain post

Moi aussi, j'ai déja vu le film mais je veux bien que tu me la racontes, la suite

...Et le vendredi !

Levés de bonne heure trente pour préparer le départ et faire un peu de ménage dans des mobile homes qui en ont bien besoin (ce que c’est crade, un motard !) ; à 9h30, les mules sont chargées, l’état des lieux est bouclé et les vaillants conquérants remontent sur leurs flamboyants destriers pour se lancer à l’assaut du périple qui les ramènera en terre sainte (bon en vrai, c’était un peu moins grandiloquent que ça, c’est vrai ).

Après un dernier baroud d’honneur par le col de la Croix Robert, on quitte le vaste terrain de jeu de l’Auvergne en direction du morne réseau routier de la Creuse : un trajet somme toute assez banal, ponctué par une superbe tentative de perdage de sacoches cavalières du TLS, le dépassement d’innombrables chicanes mobiles et un gueuleton dans le restau routier le plus pourrave de la galaxie (ah, les pâtes cuites très, très à l’eau de Cyril... ).

Vu que je me suis pas fait spécialement peur en Auvergne, je profite du retour pour me faire une bonne petite frayeur avec l’aimable collaboration d’un caisseux avec une belle tronche de vainqueur pas tout à fait fini, qui tente de forcer le passage devant Romain et moi sur un rond-point... Résultat : un élégant « kiss » à 10 à l’heure entre le carénage avant gauche du TLS et la valoche droite du FJR de Romain, un petit réveil rapide et sans conséquence qui sonne malgré tout comme un gentil rappel à l’ordre...

Mais mais mais... la semaine émaillée de quelques incidents techniques cocasses n’aurait pas été complète sans une ultime galère... et cocorico, c’est la Voxan qui va se charger de nous l’offrir ! Arrivés à Cholet, la Voxan cale... et reste stoïquement calée, point barre. Après avoir déposé la selle, le passage de roue et tenté de redonner vie au bestiau en tirant des câbles depuis la batterie du TLS, les spécialistes (càd nous-mêmes ) concluent à une panne de régulateur ou d’alternateur (et que de toutes façons, les bécanes françaises et surtout les vétouines rouges, c'est nul), et Yann se résout à appeler le service d’assistance : la fin du trajet se fera en bàr de location... française, oui môssieur !

Au moment des adieux, quelqu’un (Fab ?) se souvient que c’est l’anniversaire de Yann ; sous un soleil de plomb et le regard hébété de dizaines de choletais, la chorale la plus atonale, fatiguée et sudoripare du monde beugle joyeusement le rituel « joyeux anniversaire » au bord d’une quatre voies bondée, devant une Voxan en partie démontée, pendant que son preux pilote se lance dans un enchaînement de poses de culturiste outrageusement viriles. Un grand moment de craquage !

Romain et moi (les plus proches de Cholet, géographiquement parlant) restons avec Yann en attendant la dépanneuse, pendant que les autres filent vers leur lointaine maison, sucrée maison. Enfin, la dépanneuse arrive, le FJR et le TLS reprennent la route et, après un dernier verre chez Romain et Bérangère, je retrouve ma maison, ma douche et ma moelleuse couette posée sur un paddock qui menace pas de s’écrouler quand je me retourne.

C’était une pure semaine, passée en excellente compagnie. Un énorme merci à tous pour la bonne humeur constante, les délires, les vannes à deux balles (et bordel, y’en a eu !), votre propension à vous faire pourrir par une meule archaïque et tout le reste. Je resigne quand vous voulez, mousson, blizzard et tornades de feu et tout le toutim... ou pas.

David, over and out.

"De bonne heure trente", c'était 6
pour le resto routier, mais ça nous a bien réquinqué
pour le paddock
pour le resignage

Et bravo l'artiste, tu m'a bien fais marrer et presque chialer en te lisant.

Merci David
De super bons moments de lecture!

Oué, je vais faire de beau rêves! Merci David!

J'en profite pour dire merci à tout le monde ou même à chacun en fait. En vrac, merci pour l'orga avant et pendant, les road books et celui qui a passé 5 jours à ouvrir, pour la bouffe, le ménage, les courses, les photos, les vidéos & Co...
Et évidemment pour m'avoir attendu lorsque ma tomate sur roues a préféré s'arrêter plutôt que de s'éloigner à nouveau de son Auvergne natale

On a tout compris

comment vous avez du vous ennuyer

Herbert29 a écrit:

Je te hais David...

Vi....



quelqu'un à du goudron et des plumes ?

Super CR, tu devrais ecrire des boucains


En tout cas vous ne vous etes pas ennuyés, super expérience a vivre entre pote et découvrir une région, vivement la prochaine expédition

Merci David quel talent !

Je pense que nous avons tous appris de notre périple en Auvergne :

- niveau pluie nous n'avions jamais pris une douche si longtemps
- niveau humain
- niveau virages

Notre organisation à été sans faille, grace à la contribution de chacun.

MERCI à vous 7 de m'avoir fait vivre ces 5 jours de bonheur

C'est juste mortel David.



... jaloux...

Fab29 a écrit:

Merci David quel talent !

Je pense que nous avons tous appris de notre périple en Auvergne :

- niveau pluie nous n'avions jamais pris une douche si longtemps
- niveau humain
- niveau virages

Notre organisation à été sans faille, grace à la contribution de chacun.

MERCI à vous 7 de m'avoir fait vivre ces 5 jours de bonheur

après l'Auvergne (quoique l'on n'a pas fait la fameuse route à virages, Bernard )

les Vosges ?

le Jura ?

Bernard35 a écrit:

Fab29 a écrit:

Merci David quel talent !

Je pense que nous avons tous appris de notre périple en Auvergne :

- niveau pluie nous n'avions jamais pris une douche si longtemps
- niveau humain
- niveau virages

Notre organisation à été sans faille, grace à la contribution de chacun.

MERCI à vous 7 de m'avoir fait vivre ces 5 jours de bonheur

après l'Auvergne (quoique l'on n'a pas fait la fameuse route à virages, Bernard )

les Vosges ?

le Jura ?

Sois pas si bavard Bernard, faut pas tout balancer d'un coup.
Et on encore quelques années pour faire tout ça

En meme temps, on a déja commencé a évoquer le plaisir futur d'une expédition 2009

ca avait l'air cool cette virée

tiloupbreton a écrit:

En meme temps, on a déja commencé a évoquer le plaisir futur d'une expédition 2009

oui sans oublier la Corse le Nurburgring ......

et la beauce???????????,, pourquoi y'a personne kidi la beauce??????????????????????????????????????

et les monts d"arree ????????????
avec kig ha farz au youdig ........
http://www.youdig.fr/

popeye a écrit:

et les monts d"arree ????????????
avec kig ha farz au youdig ........

ça pourrait être la 2k9 ça

Herbert29 a écrit:

popeye a écrit:

et les monts d"arree ????????????
avec kig ha farz au youdig ........

ça pourrait être la 2k9 ça

el rojo a écrit:

Jeudi

À l’issue d’une montée de col sur un bitume particulièrement pas top du tout, le groupe se trouve scindé en deux : d’un côté, les familiales et autres motos avec des amortos et des freins dignes de ce nom...

bref, des yamaha

toutes les cylindrées présentes y étaient représentées

Trop cool David !
Super CR

Merci pour ton récit

Bernard35 a écrit:

el rojo a écrit:

Jeudi

À l’issue d’une montée de col sur un bitume particulièrement pas top du tout, le groupe se trouve scindé en deux : d’un côté, les familiales et autres motos avec des amortos et des freins dignes de ce nom...

bref, des yamaha

toutes les cylindrées présentes y étaient représentées

C'est pas faux

super CR
j'ai transpiré à chaque passage parlant de virage comme si mon moi intérieur y était encore...
inscrit d'office pour la session 2009